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Site d’observations OSR/ICOS situé à Auradé dans le Gers (culture de blé, 2014). Ce site est une parcelle agricole conduite selon une rotation culturale Blé/tournesol/blé/colza hautement instrumentée pour le suivie de plus de 150 variables : météo, rayonnement, profils d’humidité relative et de température du sol, biomasse de la végétation, flux de CO2, H2O, N2O, énergie, etc.
Site d’observations OSR/ICOS situé à Auradé dans le Gers (culture de tournesol, 2016). La technique des fluctuations turbulentes, couplant un anémomètre sonique tridimensionnel (Gill HS50) et un analyseur rapide infrarouge (LI-7200), permet le suivi continu des flux de CO2 (pas de temps semi-horaire), H2O et énergie à l’échelle de plusieurs centaines de mètres carrés.
Site d’observations OSR/ICOS situé à Lamasquère en Haute-Garonne (culture de maïs, 2017). Ce site est une parcelle agricole conduite selon une rotation culturale Blé/maïsl/blé/maïs hautement instrumentée pour le suivie de plus de 150 variables : météo, rayonnement, profils d’humidité relative et de température du sol, biomasse de la végétation, flux de CO2, H2O, N2O, énergie, etc.
Site d’observations OSR/ICOS situé à Lamasquère en Haute-Garonne. Des capteurs installés à 5 mètres au dessus du sol permettent par exemple de mesurer le rayonnement solaire incident et réfléchi par la canopée dans les courtes (visible et proche infra-rouge) et longues (infra-rouge thermique) longueurs d’ondes. Le rapport entre rayonnements de courtes longueurs d’ondes incidents et réfléchis par la surface permet de calculer l’albédo de la parcelle. La différence entre les rayonnements (courts et longs) incidents et réfléchis par la surface représente le rayonnement net c’est-à-dire l’énergie disponible pour : chauffer l’air et le sol, évaporer et transpirer (pour les plantes) l’eau à la surface et faire la photosynthèse.
Site d’observations OSR/ICOS situé à Auradé dans le Gers (culture de blé, 2014). La méthodologie employée pour suivre les flux de N2O et CO2 émanant du sol repose sur l’utilisation d’un analyseur infrarouge relié à un set de 6 chambres dont la fermeture se fait automatiquement toutes les 6 heures pendant 17.5 minutes. Cette configuration en système fermé permet de mesurer l’accumulation des gaz dans les chambres en cas d’émissions. L’ajustement d’un modèle exponentiel sur ces données permet de calculer le flux.

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